lundi 21 novembre 2011

Soupe thaï crevettes et citronnelle

RECETTE

Recette pour 4 personnes
500g de crevettes entières
1,5l d'eau + le jus d'un citron
2 cubes de bouillon de poule
4 tiges de citronnelle fraîche ou sèche (en vente dans les épiceries asiatiques)
10 feuilles de citron de cafre fraîche ou sèche (en vente dans les épiceries asiatiques)
4 gros champignons de Paris émincés
2 oignons nouveaux avec le vert et le blanc
1 boite de pousses de bambous égouttées et émincées
1 bouquet de coriandre fraîche
1 long piment rouge épépiné (frais ou sec)
3 cuillères à soupe de sauce poisson (sauce pour les nems)

Préparation
Commencez par éplucher les crevettes en gardant bien la carcasse et la tête dans une casserole. Réservez les crevettes de coté.
Dans la casserole contenant les 'restes' de crevette, rajoutez l'eau et les cubes de bouillon de poule puis portez à ébulition. Rajoutez la citronnelle et les feuilles de citron de cafre puis faites chauffer un peu plus longtemps pour que l'eau soit bien parfumée. L'eau va changer de couleur et devenir jaune-beige.

Filtrez le bouillon pour ne garder que le liquide coloré.
Remettez le bouillon sur le feu et rajoutez les champignons émincés, les oignons nouveaux émincés, les pousses de bambou, le piment ainsi que la moitié de la coriandre (adaptez la quantité en fonction de vos gouts, la coriandre peut sembler forte pour certains!).
Vous pouvez compléter avec d'autres légumes dont le gout n'altérera pas celui de la soupe: poivrons, petits mais etc...

Quand les légumes et les herbes vous semblent assez cuits, ajoutez les crevettes. Si ces dernières étaient grises, attendez qu'elles deviennent roses. Si elles étaient déjà roses, attention de ne pas les cuire trop longtemps ou vous aurez de la bouillie de crevettes!

Rajoutez la sauce poisson et le jus de citron, cuisez encore une minute puis arrétez le feu. C'est prêt à servir!

Pour la présentation vous pouvez rajouter un brin de coriandre.

Si vous servez cette soupe comme plat principal, vous en aurez assez pour 2-3 personnes. Sinon en entrée vous en aurez pour 4 personnes!

jeudi 17 novembre 2011

Les boutons de Vickie

L'impétigo est une infection cutanée superficielle bactérienne, due à un streptocoque (Streptococcus pyogenes) et/ou à un staphylocoque (Staphylococcus aureus). C'est une pathologie autoinoculable et non immunisante. Contrairement aux croyances populaires, l'impétigo ne surgit pas d'un manque d'hygiène.


Il est contagieux avec de petites épidémies familiales ou de collectivités qui justifient l’éviction scolaire. Chez l’adulte un impétigo témoigne presque toujours de lésions cutanées préexistantes, en particulier d’une ectoparasitose, car les bactéries s'introduisent dans la peau à travers les lésions diverses. On peut ainsi voir apparaître l'impétigo à la faveur de diverses maladies de peau (comme l'eczéma, la gale ou une pédiculose), ou simplement à la suite d'égratignures et des piqures d'insectes.

Mes belles vidéos

Nouveau message

Michel Sapin, chargé du projet présidentiel dans l'équipe de François Hollande et Jean-Vincent Placé, conseiller politique de Cécile Duflot, ont fait jeudi une mise au point commune sur le sort de la filière Mox, précisant qu'il faisait bien partie de l'accord entre PS et EELV. Ils y expliquent que des "interprétations divergentes ont été données sur l'avenir des filières de retraitement des déchets nucléaires et de fabrication des combustibles nucléaires dont le Mox, au cours des cinq prochaines années".








"Il est prévu dans l'accord, que la part du nucléaire dans la production d'électricité en France passera à l'horizon 2025 de 75% à 50%. En conséquence et concomitamment avec cette diminution, la quantité de combustible nécessaire à l'approvisionnement des centrales en activité sur notre territoire, ainsi que les besoins de retraitement de ces combustibles se poursuivront mais diminueront", assurent-ils.



Pour les deux négociateurs de l'accord PS-EELV pour 2012, il est donc "prévu d'accompagner cette évolution progressive, d'un plan de reconversion permettant de maintenir le nombre d'emplois, par la mise en oeuvre de centres d'excellence du traitement des déchets et du démantèlement".

Soupçon sur un médicament contre le cancer

Une nouvelle affaire dans l'industrie pharmaceutique ? Selon Le Parisien-Aujourd'hui en France, un laboratoire pharmaceutique allemand, Riemser, devait porter plainte jeudi devant le tribunal de grande instance de Paris pour "faux et usage de faux, tromperie et falsification" contre Genopharm. Il accuse ce laboratoire français, filiale du groupe Alkopharma d'avoir falsifié la date de péremption de lots périmés de Thiotepa, qui auraient été utilisés pour soigner des enfants cancéreux.

Le dépistage du cancer du sein responsable du surdiagnostic ?
Cancers du sein : le problème des "faux positifs"
En 30 ans, le nombre des cancers du sein a presque triplé
1.000 nouveaux cas de cancer par jour en 2011

Cancer









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Plus d'infos



  • "D'après les éléments recueillis par Riemser, le produit se trouvait encore sur le marché début 2011 alors que sa date d'utilisation arrivait à expiration en mars 2009, précise le quotidien. Au bout de dix-huit mois, le produit perd beaucoup de son efficacité, ce qui risque de fausser gravement les traitements". Toujours selon Le Parisien, les Allemands ont saisi en mars l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) qui a procédé au rappel de deux lots suspects le 12 octobre. Genopharm aurait réalisé un faux certificat de date de péremption courant jusqu'à fin août 2011, remis à l'Afssaps lors de son enquête.

  • "Si c'est avéré, c'est gravissime", a commenté le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé sur France Info, tout en notant que "c'est un concurrent allemand qui lui fait ce reproche". "L'Afssaps a lancé des enquêtes sur ce sujet. On a procédé au retrait des lots. Je veux savoir ce qui s'est passé entre le dépôt de cette information et le retrait des lots. Je veux savoir s'il n'y a pas eu la moindre perte de chance pour les enfants concernés", a dit Xavier Bertrand. "S'il y a falsification, c'est gravissime, et là, il faut en répondre pas seulement devant les autorités sanitaires mais devant la justice. Je veux tirer tout ceci au clair du début jusqu'à la fin", a ajouté le ministre.